Sécurité du territoire
Objectif : Assurer la sécurité publique en préservant les libertés individuelles et en mettant fin au travail dissimulé
1. La lutte contre le terrorisme et les menaces asymétriques
Radicalisation et terrorisme local : Malgré des avancées dans la lutte contre les réseaux terroristes organisés, le phénomène de radicalisation au sein de certaines populations locales demeure un défi majeur. En 2025, la France doit renforcer ses efforts de prévention de la radicalisation (notamment à travers l’éducation, les services sociaux et les structures communautaires) et améliorer les dispositifs de dé-radicalisation pour limiter l’émergence de nouveaux terroristes isolés ou de petits groupes violents.
Menace djihadiste et retour des combattants : La fin des grandes offensives en Syrie et en Irak pourrait entraîner un retour des combattants étrangers en France. La gestion des combattants terroristes rapatriés, leur réintégration ou leur placement sous surveillance sont des enjeux sensibles. En 2025, la France doit continuer à renforcer ses mesures de contrôle sur les anciens combattants et leurs réseaux, tout en évitant l’isolement social des jeunes susceptibles d’être recrutés par des idéologies extrémistes.
Cyberterrorisme : Le cyberterrorisme représente une menace de plus en plus grave. Des attaques contre des infrastructures critiques (réseaux électriques, eau, transports) pourraient paralyser des régions entières ou des institutions. En 2025, la cybersécurité est un pilier essentiel de la stratégie de défense nationale, nécessitant des investissements dans des technologies de prévention et de protection avancées.
2. L’évolution des forces de sécurité intérieure
Recruter 15 000 policiers et gendarmes, équiper les forces de l’ordre de technologies modernes (drones, cybersurveillance), et renforcer les peines pour les crimes violents (perpétuité incompressible pour terrorisme).
Réorganisation des forces de sécurité : En 2025, le modèle de sécurité publique pourrait évoluer vers une collaboration renforcée entre les différentes forces de sécurité, notamment à travers la police de proximité et la mise en place de dispositifs de sécurité de quartier. Cette approche vise à rapprocher les forces de l’ordre des citoyens et à renforcer la légitimité et la confiance dans les institutions publiques.
Renforcement de la formation et de l’équipement des forces de sécurité : La montée en puissance des technologies (caméras corporelles, drones, logiciels d’analyse de données) et l’utilisation de la donnée pour anticiper et réagir plus rapidement aux événements nécessiteront des formations adaptées. En 2025, les forces de sécurité devront être équipées de technologies avancées tout en restant en mesure de maintenir une relation humaine de qualité avec les citoyens.
3. La cybersécurité et la lutte contre les cybermenaces
Protection des infrastructures critiques : En 2025, la France doit être capable de protéger ses infrastructures critiques (énergie, transports, santé, télécommunications) contre les attaques de hackers. Les cyberattaques peuvent avoir des conséquences dévastatrices, paralysant des secteurs vitaux pour le pays. Le renforcement des protocoles de sécurité informatique, des systèmes de détection des menaces et des équipes spécialisées en cyberdéfense est indispensable pour protéger le pays.
Renseignement numérique et lutte contre la cybercriminalité : Les cybercriminels et les ransomwares représentent une menace croissante, non seulement pour les particuliers, mais aussi pour les entreprises et les institutions publiques. En 2025, la France doit intensifier la coopération avec les partenaires européens et internationaux pour lutter contre les cyberattaques transnationales.
Protection des données personnelles : En plus de la sécurité des infrastructures, la protection des données personnelles est un enjeu majeur. L’utilisation massive des données, notamment via les réseaux sociaux et les plateformes numériques, peut exposer la population à des risques en matière de violations de la vie privée et d’espionnage numérique.
4. La gestion des violences urbaines et des troubles à l’ordre public
Violences sociales et fractures territoriales : Les tensions sociales, les inégalités et la déréglementation du logement dans certaines zones urbaines pourraient entraîner des émeutes ou des violences urbaines. En 2025, la France doit renforcer sa prévention des troubles sociaux, en mettant l’accent sur l’intégration des jeunes dans le tissu social, la médation dans les quartiers sensibles, et une police de proximité mieux formée pour éviter l’escalade des conflits.
Violences policières et légitimité de l’action publique : Les tensions entre les forces de sécurité et certaines populations, particulièrement dans les quartiers populaires, nécessiteront une réforme de la police, axée sur la formation à la gestion des conflits, la lutte contre les discriminations systémiques et la promotion d’une culture de respect des droits de l’homme au sein des forces de l’ordre.
5. La protection du territoire face aux menaces géopolitiques et environnementales
Les menaces à la sécurité du territoire ne viennent pas seulement de l’intérieur, mais aussi de l’extérieur, avec des défis géopolitiques croissants.
Menaces extérieures et protection des frontières : Les tensions géopolitiques, notamment avec des puissances comme la Russie, la Chine ou certains acteurs du Moyen-Orient, pourraient entraîner des attaques hybrides (cyberattaques, désinformation, infiltration). En 2025, la France doit renforcer la protection de ses frontières physiques et numériques, tout en coopérant avec l’Union européenne et l’OTAN pour se prémunir contre ces menaces.
Défense contre les menaces écologiques : Les changements climatiques entraînent des catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes (incendies, inondations, tempêtes) qui peuvent menacer la sécurité du territoire. La gestion de ces crises est un enjeu de plus en plus central pour les forces de sécurité civile et l’armement de l’État face à ces nouvelles menaces environnementales.
6. Préparation aux crises sanitaires et résilience nationale
Les crises sanitaires, comme celle du COVID-19, ont révélé des vulnérabilités importantes dans la gestion de la sécurité publique.
Préparation aux pandémies et aux risques sanitaires : En 2025, la gestion des crises sanitaires (pandémies, épidémies, menaces biologiques) est une priorité de sécurité publique. Les autorités devront mettre en place des plans de prévention, de coordination des services de santé et de soutien à la population face aux épidémies potentielles.
Renforcement de la résilience des systèmes de santé : La France doit renforcer ses capacités de réponse face à des urgences sanitaires, en améliorant les stocks de matériel médical, les capacités hospitalières, et la coopération internationale dans la lutte contre les épidémies.
Rétablir l’autorité de l’État : tolérance zéro pour les criminels, fin du laxisme judiciaire, expulsion des délinquants étrangers, et une vraie politique de fermeté contre l’immigration clandestine. La France n’a plus les moyens d’accueillir toute la misère du monde. Elle doit se recentrer pour l’instant sur ses priorités vitales.
→ Reprendre le contrôle de nos frontières : Schengen, c’est fini. On reprend notre souveraineté, on contrôle qui entre et qui sort du territoire, et on ne se plie plus aux diktats de Bruxelles jusqu’à nouvel ordre.
7. Immigration
Conditionner l’accueil à des critères stricts (emploi, formation), accélérer les expulsions des personnes en situation irrégulière et investir dans l’intégration (cours de langue, formation professionnelle au sein du service national).
Le push & pull du travail illégal doit être stopper net. C’est la clé de l’équilibre de notre société.